Désordre

Gil Lesage

Contributions de Samuel Benchetrit, Jean-Charles de Castelbajac, Etienne Daho, Sandrine Veysset...
Entretien avec Barbara Soyer.

Mai 2018
21 x 30 cm (relié)
160 pages (ill. coul. et n&b)

39 € (frais de port compris/ shipping included)

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Depuis un accident de voiture, la photographe Gil Lesage relie les souvenirs dans un nouvel ordre. De ce que le crash a remué dans sa tête et son imaginaire, elle tire une sorte de cadavre exquis visuel dans lequel enfance, joies, drames, photos de famille et travaux personnels composent un récit muet d’influences, de résonances et de liaisons. Un récit nommé Désordre.











Inventaire

Alexandre & Florentine Lamarche-Ovize

Texte de Annabela Tournon, entretien avec
Alexandre & Florentine Lamarche-Ovize
par Barbara Soyer.

29 € (frais de port compris/ shipping included)

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Mars 2017
Edition bilingue (français / anglais)
17 x 24 cm (relié)
160 pages (ill. coul. et n&b)

















Première monographie des artistes français Lamarche-Ovize, Inventaire fait le point sur les conditions, les formes et les modalités d'apparition du dessin dans l'œuvre et la pratique du duo ces cinq dernières années – du carnet à l'espace d'exposition, de l'image au volume, du papier au mural.
Un catalogue complet, qui compile et combine les principaux « motifs sauvages » des Lamarche-Ovize, au sein de trois chapitres thématiques, complétés d'un entretien à plusieurs voix (dont celle de Mathieu Mercier notamment) et d'un texte d'Annabela Tournon.

Alexandre & Florentine Lamarche-Ovize (nés en 1980 et 1978) vivent et travaillent ensemble depuis 2006. Leur pratique est résolument hybride, migrante et fragmentée, associant la sculpture, le dessin, la photographie, les objets et les affiches. Les installations ne constituent qu'un point d'arrêt dans un processus de travail qu'ils conçoivent comme un flux d'expérimentation continue et comme une perpétuelle remise en question des formes et du signe qu'ils utilisent. Chaque œuvre est considérée comme le chapitre d'un récit beaucoup plus large qui va bien au-delà du cadre de l'exposition, condense les expériences antérieures et contient le ferment des œuvres à venir. La syntaxe évolue et le vocabulaire s'inspire de la littérature (Melville, Gombrowicz, Ponge), mais aussi de l'histoire de la peinture et de la sculpture, et prend également quelques détours par la bande dessinée et le cinéma (narration non linéaire et montage).